Rail Club Presqu'île TERRUG

Pour réaliser le toit j'ai découpé 4 sections rectangulaires identiques dans de la carte plastique épaisse. Après collage à la colle Tamiya, il a fallu poncer les bords pour obtenir un arrondi.

Les faces avant et arrière ont été découpées dans du plastique de moyenne épaisseur et dans une forme trapézoïdale, l'extrémité supérieure étant plus large que l'inférieure. 

Un profilé à section carré d'un millimètre a été collé dans la partie supérieure et interne des parois latérales. Le but est d'une part de renforcer la rigidité des parois et ensuite de permettre un collage plus confortable sous le toit.

Reçu de l'association "Chemin de fer de la baie de Saint-Brieuc", dans la série" Le petit train des Côtes-Du-Nord", le petit livre sur les autorails De Dion Bouton OC1.

Tout d'abord lester le chassis avec des plombs de pêche aux extrémités et un lest plat en fer au milieu.

Coller sur les côtés des profilés Plastruct en T qui serviront à caler la carrosserie.

Découper portes et fenêtres.

Découper, dans de la carte plastique, 2 bandes qui renforceront les côtés et s'aligneront avec les portes qui ont été découpées. 

Les coller à l'intérieur des flancs de la carrosserie, les 2 épaisseurs superposées correspondant exactement à la marge du profilé en T.

Réduction du plan au 1/87.

Découpe du plan que j'utiliserai comme patron.

Découpe, à l'aide d'un cutter et d'une règle plate métallique, du plancher de l'autorail dans de la carte plastique épaisse. Un ciseau à plâtre peut remplacer le cutter.

Reproduction, au crayon gris, du dessin de profil sur une carte plastique de moyenne épaisseur.

Découpe des 2 côtés de l'autorail. 

Découpe des fenêtres à l'aide d'un cutter et ponçage des arrondis au moyen d'une petite lime courbe.

A suivre...

"Le réseau Breton" de la création aux années 1940, tome 1.

Edité par LR Presse, ce superbe ouvrage riche de 400 photos nous décrit très précisément l'histoire du réseau Breton: gares, infrastructures et ouvrages divers, plans et matériel ferroviaire. Difficile de faire plus complet à mon avis!

Vivement le tome 2!

Nous y trouvons la draisine que j'ai réalisée en laiton et l'autorail De Dion Bouton OC1 ( transformation d'une base Atlas avec motorisation et éclairage où Xavier et Didier m'ont aidé ). Y figure aussi la voiture voyageur sur laquelle avec Alain nous avons passé un peu de temps ( résine et photodec ).

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En attendant la réalisation de l'autorail OC2, retour sur l'OC1. Il s'agit d'une conversion sur base Atlas. La peinture a été refaite, l'éclairage avant et arrière installé et un bogie-moteur Train d'antan a remplacé le bogie d'origine. Le bogie arrière a été conservé mais les roues plastiques ont été remplacées par des roues en métal isolées. Il fallu lester l'avant de 50 grammes pour obtenir une adhérence suffisante au niveau des roues motrices.

Puisque l'autorail De Dion Bouton en HOm n'est plus commercialisé, il va falloir le fabriquer. Un internaute m'a donné les plans, introuvables eux aussi. Je les ai réduits au 1/87. J'ai reçu de la carte plastique Evergreen pour réaliser la caisse. Le moteur sera un Halling monté sur un bogie HOm. Un éclairage par led est prévu, Didier en ayant déjà assemblé un. L'autorail sera rouge et crème comme son copain le Decauville X232.

Je vous gratifie de quelques photos de mon réseau HO sans prétention mais qui permet de "jouer au train électrique". Comme pour la plupart il est en cours d'amélioration permanente. 3 circuits sont digitalisés et 2 resteront en analogique, le passage de l'un à l'autre ne posant aucun problème pour les locos. Le portique container est fonctionnel. 

Transformation d'un autorail Atlas: motorisation par bogie-moteur "Train d'antan" et éclairage led par un pont de diodes. 50 grammes de lest à l'avant. Digitalisation prévue.

Ce fut un long travail qui s'est déroulé sur plusieurs mois. Le premier moteur étant impossible à fixer il a fallu investir sur un bogie-moteur à monter en résine et photodec. Le chassis a dû être retravaillé pour permettre une rotation suffisante des bogies. Le bogie arrière est d'origine, seules les roues ont été remplacées par des roues en métal isolées. La répartition du lest a été un peu fastidieuse car il fallait qu'il permette un appui suffisant du bogie-moteur et il devait donc être réparti à l'avant, déjà bien encombré. On s'est initié à la fabrication d'un pont de diodes permettant un éclairage à l'avant et à l'arrière. Ce ne fut pas évident de trouver les bonnes polarités, mais à force d'essayer différentes solutions nous y sommes arrivés.

Vous allez voir une courte vidéo de l'autorail sur mon banc d'essai HOm.